considérer les autres comme soi-même
Nous nous sentons mal à l’aise quand nos opinions sont critiquées ou critiquées au cours d’une conversation, et quand un personnage qu’on aime est critiqué, on dirait qu’il se parle à soi-même. Il y a des degrés de différence selon les personnes, mais plus vous vous attachez et vous concentrez sur ces choses, plus votre cœur s’agite.
Ainsi, plus le rayon du moi est large, plus il y a d’attention, plus je suis fatigué.
En d’autres termes, la générosité et l’étendue de la vaisselle.
Pour être mal exprimé, c’est parce que les épaules sont larges.
Vivre enterré dans le temps
Du point de vue de la physique moderne, le passé, le présent et l’avenir se produisent simultanément en ce moment, mais nous ne pouvons pas nous empêcher d’être gouvernés par le temps car il est absolu de ressentir et de juger par les cinq sens du corps.
On croit que les décisions prises par le passé après mûre réflexion et quelque chose de particulier (personne, honneur, fonction) correspondant aux objectifs à venir sont les “moi” actuels.
Après avoir vécu dans l’attribut du temps, je me sens tout aussi fatigué parce que je crois que je suis “moi” dans le passé ou dans le futur.
En résumé, “je” n’est ni une image passée, ni une cible future, mais un “je” dans ce moment. Le « je » du passé et le « je » du présent deviennent des personnes différentes, même si l’on tient compte de la division cellulaire.
Cette croyance humaine a un pouvoir si puissant qu’il est très difficile de s’en sortir même si vous tombez dans une croyance inconnue.
Ce n’est ni un souvenir du passé ni un objectif futur.
C’est le vrai “je”.
En fin de compte, plus vous vous concentrez, plus vous souffrez.